Au cours de mon année de terminale S-SI au lycée Jean-Zay, nous sommes allés visiter l’école des Arts et Métiers de Cluny. Et durant la visite, l’école m’a beaucoup plu : d’abord par son histoire et ses valeurs, puis par la qualité de la formation proposée. Et j’ai compris que la classe préparatoire filière PTSI-PT offrait un maximum de chances d’intégrer les Arts et Métiers. Le lycée Jean Zay proposait cette filière, c’était de plus la suite « logique » de mon bac, donc je n’ai pas hésité à y rester deux années de plus.

En arrivant en prépa, mon objectif était donc déjà défini, mais je savais que ça n’allait vraiment pas être facile, surtout en vue de mes notes obtenues en terminale. Mais du fait d’avoir des effectifs de classe réduits, l’équipe pédagogique suivait de très près chaque élève de la prépa, qui eux-mêmes pouvaient s’entraider de manière rapprochée et efficace.

Donc pour moi toutes les conditions de réussite étaient réunies, ce qui finalement m’a permis d’intégrer les Arts et Métiers de Cluny.

Je suis désormais épanoui dans cette école généraliste qui saura m’offrir un diplôme de valeur.

Si j’ai réussi à atteindre mon objectif, c’est grâce à l’aspect « familial » dans lequel j’ai été baigné pendant deux ans à Jean-Zay. Le suivi des profs est excellent, il s’adapte à tous les profils, et le lien entre les élèves est très fort croyez-moi. Il suffit d’avoir un projet professionnel défini et je suis certain que la prépa de Thiers pourra vous y emmener comme elle l’a fait pour moi. Elle m’a enseigné la rigueur et la discipline, des valeurs qui me seront indispensables tout au long ma vie professionnelle.

Après trois ans en internat au lycée Saint-Alyre à Clermont, j’ai passé un bac S. Je savais déjà que je voulais travailler dans le bâtiment et que je voulais devenir ingénieur.

J’ai donc intégré la classe préparatoire au concours d’ingénieur au lycée Jean Zay, à Thiers, en 2016. À la suite de la PTSI les élèves s'orientent habituellement en mécanique et sciences de l’industrie. Je souhaitais pourtant toujours travailler dans le bâtiment et j’ai donc postulé à une école sur dossier en Génie Civil.

J’ai intégré l’École Nationale d’ingénieurs de Saint-Étienne en 2018, qui est aujourd’hui devenue École de spécialité de Centrale Lyon. Les deux premières années s’orientent autour des cours de techniques du bâtiment (thermique, acoustique, mécanique des fluides, géotechnique…) et des cours de structure (métallique et béton)

Dès la deuxième année on réalise un stage de 5 mois. L’agence d’Eiffage Construction Confluence à Lyon m’a permis de travailler sur le chantier du campus orange en tant qu’assistante conductrice de travaux.

Enfin, je me suis spécialisée en dernière année. J’ai choisi une spécialisation tournée autour du montage d'opérations immobilières, du management et de la gestion de projets. Grâce à mon parcours j’ai eu la chance de pouvoir choisir mon projet de fin d’études (PFE) parmi différents grands groupes de constructions en France et en Suisse.

Je vais donc commencer mon PFE chez Vinci Construction en Suisse en tant qu’assistante conductrice de travaux sur l’aéroport de Genève.

Souhaitant m’orienter, après mon BAC, vers une formation technique, j’ai fait le choix d’intégrer la CPGE à Jean-Zay. Principalement car la filière PTSI/PT offre le plus d’opportunités d’intégrer une école d’ingénieur à l’issue des concours mais aussi de la forte proximité professeurs/élèves.

Durant ces deux années à Jean-Zay j’ai été pris d’intérêt pour le dessin industriel et la CAO (Conception Assistée par Ordinateur). J’ai donc fait le choix d’intégrer l’ECAM Strasbourg, qui propose une formation d’ingénieur industrielle avec une spécialité en amélioration continue.

Je me suis finalement rendu compte, durant mon stage de fin d’étude que l’univers de la production ne me correspondait pas et j’ai saisi une opportunité professionnelle en assurance qualité, dans l’industrie pharmaceutique, en Belgique.

J’occupe aujourd’hui le poste de responsable assurance qualité des partenaires européens au sein d’UCB, une entreprise pharmaceutique belge spécialisée dans les maladies neurologiques et auto-immunes. Toutes mes interactions se font en anglais donc si j’avais un conseil à donner aux futurs jean-zayiens, ne négligez surtout pas les matières littéraires !

L’univers pharmaceutique étant un univers industriel vraiment à part, je n’utilise que très peu des connaissances apprises lors de mon passage en classe préparatoire et en école d’ingénieur. Cependant, mon passage à Jean-Zay m’a permis de me développer dans un environnement de qualité et fût extrêmement formateur, que ça soit sur le plan technique mais aussi humain, et pour ça je leur en suis reconnaissant.

À la suite de mon bac S-SVT, j’ai souhaité orienter mes études vers un cursus ingénieur. Bien que plusieurs possibilités existent pour intégrer une école d’ingénieur, j’ai choisi la voie de la prépa PTSI à Jean Zay.

Ce fut des années éprouvantes, mais très enrichissantes, car elles m’ont permis de grandement améliorer ma méthode de travail, ma rigueur et ma culture scientifique. Le choix de Jean Zay fut également orienté par le fait qu’en plus de la qualité des cours, c’est une prépa dite « familiale », où la cohésion et l’entraide de classe sont des valeurs ancrées, ce qui permet de mieux surmonter les diverses difficultés de cette formation.

Ayant intégré par la suite l’UTT, j’ai choisi la branche Génie Industriel, regroupant l’ensemble des métiers liés à la chaîne logistique (qualité, gestion des transports/stocks…) mais, souhaitant me diversifier, je me suis orienté sur une spécialité dans la sûreté de fonctionnement industriel.

C’est pourquoi je travaille aujourd’hui en tant qu’ingénieur en sûreté de fonctionnement ferroviaire pour une entreprise de conseil appelée LGM Group, pour le compte de son principal client, Alstom. Mon rôle est de s’assurer, avec les différents acteurs de conception, de la fiabilité et la sécurité des trains en cours d’exploitation.

A la suite d’un bac S Si au lycée Albert Londres (à Vichy) obtenu en 2014, et étant passionné de sciences depuis mon plus jeune âge, mon choix d’orientation s’est vite porté sur la CPGE de Jean Zay (PTSI).

Ces deux années passées à Thiers m’ont permis de vivre les moments les plus difficiles de mes études mais également les plus belles. Elles m’ont appris la méthodologie, la rigueur, le travail …

Mon objectif à travers ces années était de m’orienter vers un métier d’ingénierie dans le domaine de l’automobile.

C’est pourquoi j’ai choisi d’intégrer l’école d’ingénieur SIGMA Clermont (ex : IFMA) spécialisée en Mécanique Avancée, dans le pôle MMS (Machines, Mécanismes et Systèmes).

J’ai orienté mon parcours vers l’automobile, tout d’abord en occupant le poste de président de l’association de Karting de mon école, et également en effectuant 3 stages dans ce domaine : En 1ère année chez LIGIER, en tant que mécanicien sur une navette autonome. En 2ème année chez FAURECIA, en tant que support technique sur la création de moules d’injection plastique pour l’intérieur des Peugeot 208 et 2008.

En dernière année, j'ai effectué 6 mois en Allemagne chez BOSCH en tant que concepteur mécanique d’un banc d’essais.

Actuellement, pour des raisons de crise sanitaire et d’affaiblissement du secteur automobile, j’ai dû me réorienter vers le secteur du nucléaire, un autre secteur que j’apprécie énormément.

Je travaille donc pour l’heure dans la centrale du Bugey en tant qu’ingénieur d’étude. Mais qui sait, peut-être que je n’en ai pas encore fini avec l’automobile …

Quelques années avant d'intégrer la PTSI à Jean Zay, j'ai commencé à m'intéresser à l'informatique de bien des manières différentes (Matériel, bidouillage, jeux, développement...). J'ai fait le choix d'entrer dans cette prépa bien qu'elle ne soit pas spécialisée dans ce domaine, mais je ne le regrette absolument pas. En effet, les bases nécessaires à l'informatique sont abordées et les méthodes d'apprentissages enseignées me sont toujours utiles aujourd'hui.

Un des plus gros avantages d'être entré dans cette filière s'est fait ressentir lors des concours aux grandes écoles. En effet, pour entrer dans une école informatique, les places sont beaucoup moins nombreuses que dans une école généraliste comme les Arts et Métiers (5 places pour l'ISIMA,mon école, environ 550 pour les Arts), mais cela induit une concurrence beaucoup moins importante. C'est comme cela que je suis rentré à l'ISIMA.

Les maths et la physique sont des matières très importantes dans ce type d'école, mais la plupart des notions abordées ont déjà été assimilées avec la prépa, ce qui m'a permis de compenser mon retard dans le domaine du développement informatique.

Après un certain nombre de projets, 2 stages (dont un au Brésil) et finalement un diplôme, j'ai travaillé dans une société de service du numérique avec Michelin pour client avant de partir pour Lyon où je travaille actuellement en tant que développeur pour une start-up dans le web et l'intelligence artificielle.

Issue d'un bac S-SI, je me suis dirigée vers la filière PTSI/PT pour avoir une formation aussi bien théorique que pratique. Grâce à ces deux années, j'ai intégré l'ENSTIB (École Nationale Supérieure des Technologies et Industries du Bois) à Epinal qui me permet aujourd'hui de travailler dans le domaine du bâtiment et plus particulièrement le bois.

J'ai choisi de me spécialiser dans le calcul de structures ainsi que la thermique du bâtiment avec un double diplôme en architecture (je suis titulaire d’un master 2 Génie Civil/Architecture). Être issue d’une CPGE m'a permis de suivre assez facilement certaines matières en école d'ingénieur. J’ai également bénéficié d’une mise à niveau en biologie et chimie en première année d’école, cette partie m’a demandé un travail conséquent.

Cette formation me permet d'avoir accès à des postes d'ingénieur structures, ingénieur travaux et prochainement chargée d'affaires. Au-delà du parcours professionnel, la classe préparatoire de Jean Zay m'aura permis de passer deux années "dures" en terme de charge de travail dans de très bonnes conditions : pas d'esprit de compétition, de l'entraide et des enseignants à l'écoute et disponibles.

Je suis venu de Tunisie après un bac S pour poursuivre des études d’ingénieur en aérotechnique.

J’ai donc d’abord fait une classe préparatoire au lycée Jean ZAY en 2013.

A l’issue des deux années d’études, j’ai obtenu le concours d’entrée à l’ISAE-ENSMA (Ecole Supérieure de Mécanique et d’Aérotechnique) qui fait partie de l’Institut Supérieure de l’Aéronautique et de l’Espace.

Après les deux ans de tronc commun, j'ai choisi de me spécialiser en aérodynamique en troisième année. En parallèle j'ai suivi des cours de combustion avancé et obtenu un Master.

Je suis également parti étudier à l’étranger : 4 mois en Erasmus à Barcelone (cours du Master in Aerospace Science and Technology) , stage ingénieur en Belgique (étude de la stabilité dynamique d'un véhicule spatial )

Une fois mon diplôme d'ingénieur obtenu, j'ai choisi de poursuivre mes études : je suis actuellement en fin de deuxième année de thèse à l'IFPEN (Institut Français du Pétrole et des Energies Nouvelles) en région parisienne. Mon sujet est au cœur de ma spécialité aéro-combustion.

Après avoir passé mon BAC au Lycée de Presles à Vichy en 2009, je me suis orientée vers la classe préparatoire du Lycée Jean-Zay à Thiers (PTSI-PT).

Suite à ces deux années j'ai intégré l'école d'ingénieurs ENIVL (Ecole Nationale d'Ingénieurs du Val de Loire) qui est devenue par la suite l'INSA Centre Val de Loire. C'est une école généraliste où j'ai suivi en dernière année une spécification en mécanique (PMAT – Production Méthode Automobile Transport). J'ai eu la belle opportunité de faire mon stage de 4ème année au Canada (4mois) au Centre National de Recherches du Canada. J'ai réalisé ensuite mon stage de dernière année en région parisienne au sein d'ALTAIR. A l’issue de ce stage qui tournait autour de l'optimisation multi-discipline, j’ai été directement embauchée. J'y travaille depuis 7 ans maintenant.

ALTAIR est une société américaine éditrice de logiciels (que ce soit dans le domaine des DATAs, HPC/Clouds mais aussi le calcul de structure pour des bureaux d'études travaillant par exemple sur des fusées, voitures...).

Au cours des 7 dernières années j'ai eu la chance de travailler à différents postes qui m'ont permis d'apprendre à chaque fois de nouvelles compétences. J'ai tout d'abord commencé comme ingénieure projets où je réalisais des études pour des clients en utilisant nos logiciels.

Je suis actuellement ingénieure d'application où je viens en aide aux clients (en effet il est nécessaire d'aider nos clients à prendre en mains nos logiciels et répondre à leurs interrogations lorsqu'ils nous contactent). Ensuite en parallèle de cela j'ai été amené à gérer le bon fonctionnement de l'équipe support France, cette opportunité mais permise de travailler en collaboration avec plusieurs collègues.

À présent je fais partie d'une équipe mondiale au niveau du support technique, où je travaille toujours à accompagner les clients mais cette fois du monde entier sur des logiciels en particulier ceux qui tournent autour du pré/post-traitement (création des modèles de calcul et études des résultats obtenus). Cette nouvelle opportunité me permet de travailler avec des personnes ayant différentes cultures et de parler anglais tous les jours. Cela me permet également d'avoir tous les jours un programme différent et de voir ce sur quoi nos clients travaillent.

Pour conclure, le passage en classe prépa m’a permis de réaliser sereinement mon projet professionnel, et de pouvoir aujourd’hui exercer un métier qui, contrairement à certaines idées reçues, n’est pas réservé aux hommes !

Issu d’un bas S SI obtenu en 2008 au lycée Albert Londres à Vichy, j’ai décidé de faire une classe préparatoire au lycée Jean Zay dans le but d’intégrer une école d’ingénieur généraliste : l’Ecole des Mines d’Alès ou les Arts et Métiers.

Après avoir fait ces deux ans de classe prépa, j’ai intégré l’Ecole des Mines d’Alès : ceci était mon premier choix. J’ai pu suivre en deuxième et troisième année l’option « matériaux et mécatronique » et être diplômé en 2013.

Je me voyais personnellement travailler à l’export, sur le continent africain ou en Amérique du Sud, soit dans le BTP ou le milieu pétrolier. J’ai eu l’occasion de faire mon projet de fin d’études dans la société RAZEL-BEC (groupe FAYAT), division Matériel Afrique, au siège en région parisienne. J’ai alors continué, toujours dans la même société, en VIE (1 an) au Cameroun puis en CDI.

Depuis 2014, je suis toujours dans cette même société, où j’ai alterné différents postes surtout en Afrique mais également en France. J’occupe actuellement le poste de Responsable matériel pour l’agence RAZEL CAMEROUN.

La classe prépa de Jean Zay reste le socle qui me permet de réaliser aujourd’hui mon projet professionnel. L’équipe pédagogique de ce lycée est vraiment dans une démarche d’accompagnement des étudiants afin de tirer le meilleur d’eux-mêmes pour leur réussite aux concours !

Mon diplôme d’ingénieur a été et reste un tremplin pour ma carrière professionnelle. Je n’oublierai pas que j’ai réussi à intégrer l’école des Mines d’Alès en bonne partie grâce aux valeurs transmises par la Prépa de Jean Zay, ce qui me permet aujourd’hui d’être épanoui professionnellement et personnellement : plus de 10 ans après notre sortie de Jean Zay, nous continuons à nous voir régulièrement entre anciens de cette prépa avec nos familles respectives !